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Joël Dewarrat alias Jod

né le 8 aout 1972

à Châtel-St-Denis (CH)

Présentation

En 1997, suite à sa formation en Arts Appliqués à l’EAA de Vevey en Suisse, Jod, entame sa démarche artistique sur un questionnement autour de l’Humain. Ces travaux prémisses de cette réflexion seront exposés au Centre International d’Art Fantastique du Château de Gruyères , au Art Forum / Montreux (CH), au Arte Europa 2000 / Reggio Emilia (IT) ainsi qu’au ArtExpo / New York (US).

Dans son exploration Jod ouvre cette approche à la diversité des médiums qui le conduit vers la performance pluridisciplinaire. Il crée le collectif, Born to Be qui marie la narration du dessin à celle de la vidéo et Antimatière qui explore un dialogue cyclique entre l’acte pictural et le son dans une approche scénique. L'émulation de ces divers processus le conduit vers des productions plus immersives qui questionnent l'objet artistique en y intégrant le spectateur. Snack performance sculpturale et comestibles produit lors du Luff 2012 (Lausaune Underground Films Festival) (CH), créée par le collectif Ruletka dont il est l'investigateur, en est un des exemples les plus représentatif.

Dès lors, les oeuvres de Jod, issues de son atelier de Bulle (CH), s’orientent vers un questionnement des médiums et des techniques dans la cohérence d'un équilibre entre sens et sujet. Ces travaux seront exposés dans plusieurs galeries suisses ainsi que dans des Art Fair comme le MAG Montreux (CH) et le Itsliquid Interantional Comtemporary Art Venice 2021 (IT).

 

Démarche artistique

C'est une réflexion sur l' Humaine qui est alimentée par une question personnelle que Jod explore à travers son travail :
Que compte faire l’être humain de l’être humain ?
Pour Jod, il est à la fois prétentieux et futile de répondre à cette question de manière unilatérale. Pour lui, c’est un dialogue entre celui qui le génère et l'objet artistique. Un jeu de question réponse où l'un questionne l'autre dans une grammaire de matières et d'actes, et l'autre lui réponds par le sens.

Dans la cohérence de cet approche, le travail de Jod tend plus à la découverte qu'à la création. Dans ce processus la seule création est celle du dialogue avec ce qui, fruit du vivant de la matière et de la conscience de l'acte, se cache dans l'objet.

Comme ces présences issues de la torsion aléatoire du papier et du geste que l'on trouve dans sa production d'atelier. Ces formes humanoïde, qui une fois le dialogue installé, nous parlent, au travers de la narration de la ligne, de leur mémoire de ce qu'elles sont, ou se quelles doivent devenir.

Comme une écoute entre le vivant et l'artifice dans le paradoxe de l'humain et de la forme de sa survie, le travail de Jod revient constamment à cette question initiale.
Que compte faire l’être humain de l’être humain ?

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